Devenir Contrôleur aérien
Véritable aiguilleur du ciel, le contrôleur aérien assure sécurité et fluidité du trafic avec rigueur et sang-froid.
Vous suivrez
Une formation rémunérée
Financièrement, aucune inquiétude à avoir. Dès votre entrée en formation de contrôleur aérien, vous percevez votre salaire en totalité, au même titre que si vous étiez déjà établi dans l’emploi. Cette sécurité permet d’envisager une reconversion professionnelle pour un changement de carrière.
Le quotidien d'un contrôleur aérien
Des avantages uniques
Au sein de l’armée de l’Air et de l’Espace, vous pouvez bénéficier d’avantages professionnels exclusifs :
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Un salaire égal entre homme et femme à poste et niveau hiérarchique équivalent.
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45 jours de permissions par an.
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Des tarifs préférentiels auprès de la SNCF, jusqu’à -75 % pour vous et -50% pour votre famille.
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Un hébergement gratuit sur base pour les nouvelles recrues ou une aide au logement pour se loger à l’extérieur.
Vos perspectives d’évolution en tant que contrôleur aérien
Accessible dès l'obtention du Bac, le métier de contrôleur aérien vous attribue le statut de sous-officier. Après quelques années d’expérience et la volonté d’obtenir de l’avancement dans votre carrière, vous pourrez vous réorienter ou préparer le concours d’officier (niveau bac+3) pour accéder à de plus grandes responsabilités.
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OFFICIER
Responsable contrôleur aérien
Au cœur de la tour de contrôle, vous encadrez une équipe de contrôleurs aériens pour la surveillance et le guidage des aéronefs, l’octroi des autorisations de décollage/d’atterrissage, l’interception des appareils en tant que “police du ciel”.
Différence entre le civil et l’armée
Existant également dans l’aviation civile, le métier de contrôleur aérien comporte plusieurs particularités au niveau militaire :
La gestion du trafic aérien s’effectue en tour de contrôle au sein d’une base militaire ou à l’étranger dans le cadre d’opérations extérieures (OPEX).
Seul le contrôle du trafic aérien militaire est assuré, comprenant la communication des données de navigation pour les missions opérationnelles ou l’entraînement des pilotes.
Les contrôleurs aériens militaires sont habilités à intercepter un avion civil ou militaire survolant l’espace aérien.
Les missions peuvent avoir lieu dans un environnement difficile, notamment en opérations extérieures (OPEX), ce qui requiert une résistance physique et mentale importante.
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Des questions ?
Pour entrer en formation de contrôleur aérien, il faut répondre aux exigences suivantes :
Avoir la nationalité française ;
Être âgé de moins de 30 ans à la date de signature du contrat d’engagement ;
Être titulaire d’un baccalauréat général, technologique, professionnel ou équivalent ;
Avoir réussi les tests de sélection ainsi que les tests médicaux militaires.
Vos missions quotidiennes de surveillance de l’espace aérien sont soumises à de nombreux aléas et peuvent être mouvementées en cas d’urgence et d’atteintes à la sécurité nationale. Vous avez la possibilité de vous porter volontaire pour des missions :
En opérations extérieures (OPEX) ;
À l’étranger, dans les centres de contrôle permanents de l’armée situés à Djibouti ou Kourou (Guyane) ;
D’assurer la logistique et le transport par avion de matériel pour l’assistance aux victimes de l’ouragan Irma aux Antilles ;
En France, pour assurer la sécurité antiterroriste via l’opération Sentinelle.
Une fois votre diplôme de contrôleur aérien obtenu, votre lieu d’affectation dépend de votre spécialisation :
En circulation aérienne : Évreux, Villacoublay, Lyon, Mont-de-Marsan, Istres, Salon de Provence, Orange, Solenzara, Avord, Luxeuil, Saint-Dizier, Nancy, Orléans, Cazaux, Cognac.
Dans les opérations aériennes : Sur les localités de Brest, Athis-Mons, Bordeaux, Reims, Aix-en-Provence, Lyon, Cinq-Mars-La-Pile, Mont-de-Marsan.
Vous souhaitez en savoir plus et répondre à certaines de vos interrogations ? Claire, notre ambassadrice, est disponible sur rendez-vous pour évoquer avec vous son quotidien de contrôleur aérien.
